J'étais vraiment contente / I Was Truly Happy

Claire I Was Truly Happy

Elle était tombée sur la photo par hasard, en triant son téléphone. Elle l’avait presque oubliée, celle-là. Son visage posé contre lui, le gland presque sur sa joue. Et ce regard... Elle se souvenait. Ce jour-là, elle avait été vraiment soulagée. Chris était en vie. En un seul morceau. Elle avait été tellement heureuse… qu’elle lui avait fait un gros câlin. Très gros.

Elle s’était d’abord contentée de coller son visage contre sa peau, de rester là, à respirer son odeur. C’était fort, musqué, pas tout à fait propre, mais ça lui allait. Elle avait embrassé doucement le gland, juste un petit contact, puis un deuxième, plus lent. Puis elle avait commencé à insister, à déposer de vrais baisers — comme une sœur embrasse son frère sur la joue : tendrement, avec reconnaissance, sans se poser de question. Elle sentait la chaleur sous la peau, la tension, le goût. Et puis, sans même y penser, elle avait allongé un baiser plus profond, un peu humide. Le gland s’était glissé entre ses lèvres, presque naturellement. Elle l’avait laissé entrer. Lentement. Jusqu’à sentir la pulpe ronde buter contre sa langue. Alors elle avait sucé. Pas longtemps au début. Quelques mouvements. Un va-et-vient timide, presque enfantin. Puis plus affirmé. Elle aspirait par petits coups, ses joues creusées, les yeux mi-clos. Elle remontait, descendait, reprenait le bout, tournait la tête légèrement. Elle voulait que ça lui reste en bouche. Que ce moment tienne. Et lui, gonflé et luisant, répondait à tout. Elle l’adorait. Elle se sentait bien.

Il avait joui d’un coup, en plein milieu d’un va-et-vient. Une partie était restée dans sa bouche, l’autre s’était étalée sur sa joue. Claire avait continué, sans même s’essuyer. Elle avait frotté le sexe contre son visage, contre son front, contre ses lèvres encore humides. Comme pour en reprendre. Comme pour s’assurer qu’il était bien là. Elle se souvenait avoir souri juste après, en murmurant : « J’étais vraiment contente de le retrouver cette fois-là… »

She stumbled upon the photo by chance while sorting through her phone. She had nearly forgotten it. Her face pressed against him, the head of his cock brushing her cheek. And that look... She remembered. That day, she had been so relieved. Chris was alive. In one piece. She had been so happy... she gave him a big hug. A very big one.

At first, she had simply pressed her face against his skin, breathing him in. The smell was strong, musky, a little unwashed — but she didn’t mind. She kissed the tip softly, once, then again, slower. Then she began placing fuller kisses — like a sister would kiss her brother on the cheek: tenderly, gratefully, without a second thought. She felt the heat beneath the skin, the tension, the taste. And then, without even thinking, she let her lips linger, wetter, deeper. The head slipped between her lips almost naturally. She let it in. Slowly. Until the swollen crown nudged her tongue. And then she started sucking. At first just briefly. A few gentle motions. Tentative strokes, almost childlike. Then more firmly. She sucked in little pulses, cheeks hollowed, eyes half-closed. She slid down and up, paused at the tip, angled her head. She wanted it to stay in her mouth. She wanted the moment to last. And it did. Swollen, slick, perfect. She loved it. She felt right.

He came suddenly, mid-motion. Some of it stayed in her mouth, the rest spilled across her cheek. Claire didn’t stop. She rubbed the shaft across her face, her forehead, her wet lips. As if to keep the contact. As if to make sure he was really there. She remembered smiling just after, whispering, "I was truly happy to find him again that time..."

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