L’expérience est un succès / The Experiment Is a Success

Natalia and Dark Natalia - Experiment

La pièce était réelle. Froide, haute, voûtée. Les murs sentaient la pierre humide, le vieux métal. Mais l’odeur qui frappait Natalia venait d’ailleurs. D’un sexe dressé, posé là, au milieu de la pièce, comme une offrande crue. Une odeur âcre, puissante, presque animale. Elle voulait se reculer — mais elle sentait dans son dos une présence connue. Dark Natalia, née du virus, mais bien là. Elles se regardaient. Face à face. Et entre elles, la tige tendue. Natalia n’osait pas. Elle avait posé les lèvres. Juste posé. Mais rien de plus. Ce n’était pas elle. Elle ne devait pas. Elle avait 10 ans. Ce n’était pas le moment.

« Regarde. » La voix de Dark Natalia était douce. Presque moqueuse. Elle s’agenouilla, tourna légèrement la tête, ouvrit grand la bouche. Puis elle lécha. Longuement. Lentement. Natalia la regardait faire. Elle vit la langue glisser le long de la tige, sentir le fluide déjà perler. Dark Natalia inspira profondément, comme si cette odeur forte lui plaisait. Elle souriait. Elle savourait. « Tu peux. » Natalia ferma les yeux. Puis elle se pencha aussi. D’abord une caresse timide. Puis un peu plus. Sa langue effleura. Son nez frissonna — l’odeur était forte, brutale, dérangeante. Mais elle continua. Ensemble, elles suçaient. L’une guidée. L’autre confiante.

L’éjaculation fut soudaine. Les gémissements n’étaient pas humains. Le sexe pulsa, et les deux visages furent frappés. Natalia gémit à peine, surprise par la chaleur, le goût salé, métallique, presque étourdissant. Elle ne savait pas si elle devait avaler. Elle en avait plein les lèvres, le menton, les joues. Dark Natalia, elle, ne bougea pas. Elle reçut sa part comme une récompense. Un lent filet lui coulait le long de la mâchoire. Elle se tourna vers Natalia. Un sourire léger aux lèvres. « L’expérience est un succès. »

The room was real. Cold, high, vaulted. The walls smelled of damp stone and old metal. But the scent hitting Natalia came from somewhere else. From an erect cock, set there in the middle of the room, like a raw offering. A sharp, powerful, almost animal smell. She wanted to step back — but she felt a familiar presence behind her. Dark Natalia, born from the virus, but truly present. They looked at each other. Face to face. And between them, the stiff shaft. Natalia hesitated. Her lips had touched it. Just touched. But nothing more. It wasn’t her. She shouldn’t. She was ten. It wasn’t the time.

“Watch.” Dark Natalia’s voice was soft. Almost teasing. She knelt, tilted her head slightly, and opened her mouth wide. Then she licked. Slowly. Deeply. Natalia watched. She saw the tongue glide along the shaft, saw the fluid beginning to bead. Dark Natalia inhaled deeply, as if the strong smell pleased her. She smiled. She enjoyed it. “You can.” Natalia closed her eyes. Then she leaned in too. First a timid touch. Then a little more. Her tongue brushed it. Her nose twitched — the scent was strong, harsh, disturbing. But she kept going. Together, they sucked. One guided. One confident.

The ejaculation came suddenly. The moans weren’t human. The shaft pulsed, and both faces were struck. Natalia barely gasped, stunned by the heat, the salty, metallic, dizzying taste. She didn’t know if she should swallow. Her lips, her chin, her cheeks were drenched. Dark Natalia didn’t move. She took her share like a reward. A slow stream ran down her jaw. She turned to Natalia. A faint smile on her lips. “The experiment is a success.”

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