Le sol était sale. Les murs de pierre transpiraient l’humidité et le métal rouillé. Natalia respirait à peine. Son dos frôlait celui de son double — Dark Natalia, née du virus, mais incarnée, présente, indiscutable. Elles étaient côte à côte, assises sur le même banc, chacune tenant dans une main un sexe encore raide, encore tendu, encore luisant. Deux hommes. Deux tiges. Deux épreuves. Et sur leurs visages, une même trace : le sperme épais qui coulait lentement sur les joues, la bouche, le menton. L’acte venait d’avoir lieu. Mais l’épreuve, elle, n’était pas terminée.
Natalia ne disait rien. Elle tenait encore le sexe dans ses doigts, mais à distance, comme s’il pouvait la brûler. Ses yeux étaient écarquillés. L’odeur — forte, chaude, animale — lui nouait la gorge. Le goût était encore là, salé, métallique, dérangeant. Elle n’avait pas su quoi faire, ni comment s’arrêter. À côté d’elle, Dark Natalia riait doucement. Son visage était tout aussi éclaboussé, mais son regard brillait d’un plaisir tranquille. Elle avait léché, sucé, aspiré sans honte. Le sperme lui allait bien. Il soulignait son sourire. Elle se tourna vers Natalia et murmura, moqueuse : « Tu l’as bien mérité. »
Natalia baissa les yeux. Le sexe dans sa main palpitait encore. Celui de Dark Natalia aussi, dressé contre sa joue, semblait presque satisfait. L’air était lourd, chargé de cette odeur qu’elle ne supportait pas — et que Dark Natalia, elle, respirait à pleins poumons. Leurs mains ne tremblaient plus. Mais l’effet restait. Un filet de sperme coula dans le creux du cou de Natalia. Elle ne réagit pas. Dark Natalia, elle, passa la langue sur sa propre lèvre, puis soupira doucement. Le test était fini. Et à en juger par le sourire qui lui restait… elle l’avait brillamment réussi.
The floor was filthy. The stone walls sweated damp and rusted metal. Natalia could barely breathe. Her back brushed against her double — Dark Natalia, born from the virus but fully present, undeniable. They sat side by side on the same bench, each holding an erect cock in one hand — still hard, still slick. Two men. Two shafts. Two trials. And on their faces, the same trace: thick cum running slowly over cheeks, mouths, chins. The act had just occurred. But the ordeal wasn’t over.
Natalia said nothing. She still held the shaft like it might burn her. Her eyes were wide. The smell — strong, warm, animal — tightened her throat. The taste lingered, salty, metallic, unsettling. She hadn’t known how to act, or how to stop. Beside her, Dark Natalia chuckled softly. Her face was equally stained, but her gaze gleamed with quiet pleasure. She had licked, sucked, swallowed without shame. The cum suited her. It accented her smile. She leaned slightly toward Natalia and whispered, amused: “You deserved it.”
Natalia lowered her gaze. The shaft in her hand still throbbed. So did the one Dark Natalia held against her cheek — almost satisfied. The air was heavy, thick with that scent she couldn’t stand — and Dark Natalia inhaled it like perfume. Their hands no longer trembled. But the aftermath remained. A streak of cum slid into the hollow of Natalia’s neck. She didn’t move. Dark Natalia licked her own lip slowly, then sighed. The test was over. And judging by her lingering smile… she had passed with ease.