Il n’avait rien dit. Mais il s’était approché. Et c’est elle, peut-être, qui avait tiré un peu plus sur le short. Ou alors il l’avait fait tout seul, sans demander. Peu importe. Il était nu maintenant, devant elle, debout, les pieds dans le sable. Elle était restée assise, les genoux repliés, mais avait tendu la main. Ce n’était plus seulement de la curiosité. C’était une forme d’attention. De politesse étrange.
Elle avait saisi les testicules entre ses doigts, délicatement. Comme un objet qu’on ne connaît pas mais qu’on veut comprendre. Le sexe, cette fois, était dressé. Il pointait droit devant elle, presque à la hauteur de son nez. Elle le regardait sans ciller, la tête légèrement penchée. Elle n’avait pas peur. Elle n’était pas sûre d’avoir le droit, mais elle continuait.
Elle n’avait pas l’air de savoir ce qu’elle faisait. Mais elle le faisait quand même. Comme si le simple fait de le voir ainsi avait déclenché un geste automatique. Et l’homme ne disait rien. Il se laissait faire, en silence, pendant qu’elle découvrait, du bout des doigts, ce qu’elle n’aurait jamais osé demander à voir.
He hadn’t said a word. But he had stepped closer. Maybe it was her who pulled a little more at his shorts. Or maybe he had done it himself. It didn’t matter. He was now fully nude, standing in the sand before her. She remained seated, knees drawn up, but reached out. It wasn’t just curiosity anymore. It felt like… a strange kind of politeness.
She cupped his testicles delicately, like something unknown she was trying to understand. His cock was hard now — pointing straight ahead, almost level with her nose. She stared at it without flinching, her head tilted slightly. She wasn’t afraid. She wasn’t even sure it was allowed. But she kept going.
She didn’t seem to know what she was doing. But she did it anyway. As if simply seeing it had triggered a motion her body followed on its own. And the man said nothing. He let her explore, in silence, as she discovered with her fingertips what she’d never dared ask to see.