Elle avait fini par les prendre tous les deux. Un dans chaque main. Deux sexes tendus, vivants, presque lourds, qu’elle maintenait au niveau de sa poitrine. Elle avait levé les yeux vers l’un des deux hommes, celui qui se trouvait à sa droite, et lentement, avait tiré la langue. Rien dans ses gestes n’était précis. Elle léchait comme on ose à peine. Comme on touche une matière étrangère.
Sa langue avait effleuré le haut du gland, puis était redescendue. Elle n’en faisait pas trop. Elle faisait juste ce qu’elle croyait devoir faire. Les deux sexes glissaient entre ses doigts, légèrement humides. Et elle les tenait fermement, sans les serrer. Ce n’était pas un service. Pas une envie. Juste une suite logique à ce qui avait commencé quelques minutes plus tôt.
Elle les regardait tous les deux à tour de rôle, comme si elle cherchait un signe, une approbation. Mais aucun des deux hommes ne parlait. Ils se contentaient d’être là, debout, en face d’elle. Et elle, agenouillée dans le sable, léchait. Sans penser à ce qu’elle faisait vraiment. Sans savoir si elle allait continuer.
She had ended up holding both. One in each hand. Two hard, living cocks — warm, heavy — balanced at her chest. She looked up at the man on her right, then slowly extended her tongue. Nothing in her movements was precise. She licked like one dares for the first time. Like someone tasting a new texture.
Her tongue grazed the top of his tip, then slid down. She didn’t try to impress. She just did what she thought was expected. The shafts shifted slightly in her fingers, slick now. She gripped them without squeezing. This wasn’t desire. It wasn’t a performance. Just the next step in something that had already begun.
She glanced between them, as if searching for a sign. But neither man spoke. They remained there, still, watching. And she — on her knees in the sand — continued licking. Not knowing what it meant. Not sure how far she would go.