Quand les derniers spasmes ont cessé, elle est restée là. Figée. Elle tenait encore les deux sexes, qui commençaient déjà à se ramollir, glissants entre ses doigts. Son visage était recouvert. Front, joue, lèvre — tout portait la trace de ce qu’elle venait de recevoir. Elle ne pleurait pas. Elle ne souriait plus non plus. Elle respirait un peu plus fort, mais sans panique.
Elle les a regardés, un à un, sans dire un mot. Les gouttes tièdes lui coulaient lentement le long du menton. Elle n’avait rien compris à la scène. Elle avait juste obéi à quelque chose qu’elle n’avait jamais formulé. Et maintenant, elle se retrouvait là, accroupie, nue d’une certaine manière, alors que ses vêtements étaient encore en place.
Peut-être qu’elle allait se lever. Peut-être qu’ils allaient partir. Elle ne savait pas ce qui allait suivre. Mais elle avait vu. Elle avait senti. Elle avait goûté. Et même si elle ne pouvait pas le dire avec des mots, elle n’était plus tout à fait la même qu’au début.
When the last pulses ended, she stayed still. She was still holding both cocks, now softening and slippery between her fingers. Her face was covered. Forehead, cheek, lips — marked with what she had just received. She wasn’t crying. She wasn’t smiling either. Her breathing was faster, but not panicked.
She looked at them, one by one, wordless. Warm droplets slid slowly down her chin. She hadn’t understood the scene. She had simply obeyed something unspoken. And now she was there, crouched in the sand, exposed in a way her bikini hadn’t allowed.
Maybe she’d stand. Maybe they’d walk away. She didn’t know what came next. But she had seen. She had felt. She had tasted. And even if she couldn’t put it into words, she was no longer quite the same she had been before.