Cellule 01 — Claire & Moira

Cellule de Calibration Claire et Moira

La cellule de calibration est un test. Chaque femme est exposée à un sexe masculin, dos à dos avec une autre.
Elles ne doivent ni parler, ni toucher. Juste observer. Ressentir.
Le sexe face à elles peut réagir — ou non.
Provoquer une réaction est un échec. Ne rien déclencher, c’est réussir.
Chaque résultat entraîne une sanction. Plus la faute est grande, plus la sanction est lourde.

Claire avait tout verrouillé. Corps droit, regard posé, respiration contrôlée. Elle ne voulait rien déclencher. Elle le savait : la moindre raideur, le moindre tressaillement, et elle échouerait. Alors elle se fit vide. Calme. Discrète. Et pourtant… rien. Même pas un sursaut. Le sexe resta flasque, froid, comme s’il ignorait sa présence. Elle sut qu’elle avait réussi. Mais ce fut une victoire sèche, sans relief. Une part d’elle aurait voulu au moins sentir un frisson, une trace. Elle n’en montra rien. Elle encaissa. Et attendit la fin, droite, presque trop droite.

Moira, au départ, avait fait l’effort. Elle avait baissé les yeux, verrouillé ses mains, mordu sa langue. Elle voulait réussir. Mais ses yeux glissèrent, juste une fois. Et elle le vit bouger. Un petit frémissement. Rien. Mais suffisant. Merde. Elle fronça les sourcils. Ne regarde plus. Trop tard. Il avait repris forme. Lentement. Gorgé de sang. Le gland se dessinait. Putain. Elle sentit son souffle s’emballer. L’angoisse monta. Arrête. Arrête, bordel. Elle s’en voulait déjà, elle sentait la sanction venir avant même qu’on ne la prononce. Et quand le sexe fut là, bien dressé, épais, incontestable — elle baissa la tête. C’était fini. Elle avait merdé. Et elle allait devoir le payer.

Claire Redfield : aucune réaction. Calibration parfaite.
Sanction : aucune. Test réussi.

Moira Burton : érection complète déclenchée par observation.
Sanction : fellation. Moira doit subir une absorption complète.

Elle le prit sans un mot. Ce n’était pas de l’envie, ni même de la résignation : c’était la punition. La bouche ouverte, elle s’avança, s’inclina, sentit le sexe dur s’imposer contre ses lèvres. Elle s’y soumit. Le goût lui monta à la langue, sec, brut, presque salé déjà. Les premiers va-et-vient furent courts, mécaniques, comme si elle devait effacer sa faute avec la bouche. Elle ne pleurait pas. Mais son souffle vibrait, rapide. Et quand l’éjaculation arriva — forte, directe, profonde — elle ne recula pas. Elle avala. Par devoir. Par honte. Dans son dos, Claire restait droite. Elle entendit tout. Et ne dit rien.

The calibration chamber is a test. Each woman stands back-to-back with another, exposed to a male sex.
They must not touch, nor speak. Only observe. Only feel.
If the sex reacts, the woman fails. If it stays inert, she succeeds.
Every outcome leads to a sanction. The greater the fault, the harsher the punishment.

Claire had locked everything down. Her posture, her breath, her gaze. She didn’t want to trigger anything. One twitch, one pulse — and it was over. So she emptied herself. Went quiet. Still. The sex before her didn’t move. Not even once. It hung there, cold, oblivious. She knew she had passed. But it felt hollow. A silent victory. Part of her had hoped for… something. A flicker. She showed nothing. She accepted it. And waited for the end, upright, almost too upright.

Moira had tried. She lowered her eyes, clenched her hands, bit her tongue. She wanted to pass. But her eyes slipped. Just once. And she saw it move. A flick. Barely. Shit. Her brow furrowed. Don’t look. Too late. It was swelling now. Slowly. Thickening. The head emerging. Fuck. Her breath caught. Stop. Stop, fuck, stop. She knew it. She had lost control. The punishment was already forming. And when the shaft stood fully, no denying it, she bowed her head. She had fucked up. And now she’d pay.

Claire Redfield: no reaction. Calibration perfect.
Sanction: none. Test passed.

Moira Burton: full erection triggered by observation.
Sanction: fellatio. Moira must endure full absorption.

She took it silently. It wasn’t desire. Not even resignation. It was punishment. Her mouth opened, she leaned in, felt the shaft press forward against her lips. She yielded. The taste hit fast — raw, dry, slightly salty. Her rhythm was hesitant at first, then mechanical, like she was scrubbing a failure with her mouth. No tears. But fast breathing. When it came — deep, sudden, overwhelming — she didn’t flinch. She swallowed. Out of duty. Out of shame. Behind her, Claire stayed still. She heard everything. And said nothing.

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