Elle avait ri en entendant leur provocation. "Vous croyez que je sais pas faire ?" Avec un air bravache, elle s’était glissée entre eux et avait tiré d’un coup sec sur leurs pantalons. Et là, elle les avait vus. Pour la première fois de sa vie. Deux sexes, réels, lourds, vivants. Elle avait rougi, mais n’avait pas fui. Elle en avait pris un dans chaque main, maladroitement, comme si elle soulevait des objets un peu ridicules. Elle les secouait, elle rigolait. "Regardez ! Trop facile !" Elle faisait la grande, mais son cœur battait plus fort qu’elle ne le montrait.
Les deux tiges durcirent lentement dans ses paumes. Elles se dressaient, pulsaient. Ashley continuait à les masturber, prise dans ce jeu absurde, comme pour ne pas perdre la face. Et puis l’odeur arriva. Lourde, piquante. Elle inspira sans y penser et s’arrêta net. Son regard vacilla. Elle sentit la chaleur des glands, la texture tendue sous ses doigts, l’humidité naissante. Et soudain, elle comprit. Elle n’était pas en train de jouer. Elle branlait deux hommes. Elle manipulait leurs sexes, vraiment. Sa gorge se serra. Son ventre se noua. Elle avait honte. Mais elle continua. Parce qu’elle ne savait plus comment s’arrêter.
Ils jouirent en même temps. Les jets la frappèrent sans prévenir, sur le front, les cils, la bouche. Elle sursauta, le visage figé, les mains toujours en place. Les deux membres palpitaient encore, déjà plus mous, tandis que le sperme coulait lentement sur sa peau. Elle cligna des yeux. Inspira. Et pensa, sans sourire cette fois : *C’était vraiment ça, alors ?* Elle aurait voulu dire quelque chose. Mais rien ne sortit. *Finalement… pourquoi pas.*
She had laughed at their teasing. “You think I don’t know how?” With a bold little grin, she slid between them and yanked down their pants in one swift move. And then she saw them. For the first time in her life. Two cocks — real, heavy, alive. She blushed, but didn’t back away. She grabbed one in each hand, clumsily, like handling something vaguely ridiculous. She jiggled them, laughing. “See? Easy!” She was acting all grown up, but her heart was pounding harder than she let on.
The shafts stiffened slowly in her palms. They rose, pulsing. Ashley kept stroking them, caught in that absurd game, not wanting to lose face. And then the smell hit her. Thick, sharp. She breathed it in by accident and froze. Her gaze wavered. She felt the heat of the heads, the tight skin, the growing wetness. And suddenly, it hit her. She wasn’t playing. She was jerking off two men. She was handling their cocks — for real. Her throat tightened. Her stomach clenched. She was ashamed. But she kept going. Because she didn’t know how to stop anymore.
They came at the same time. The spurts struck her face without warning — her forehead, her lashes, her parted lips. She flinched, frozen, hands still in place. The two shafts pulsed weakly now, softer, spent, while cum slid down her skin. She blinked. Breathed in. And thought, without smiling this time: *So that’s what it was?* She wanted to say something. But nothing came. *Maybe… it’s not so bad.*