Elle avait juste voulu voir. Pas toucher, pas sucer. Juste approcher. Comprendre. Et la voilà, debout, le sexe dans les doigts, appuyé doucement contre sa joue. Il était chaud. Dur. Elle ne le regardait plus. Son souffle était lent. Elle murmurait dans sa tête : C’est rien. Juste pour voir. Mais sa peau brûlait là où il la touchait. Elle serrait un peu trop fort.
Elle ne savait plus si elle contrôlait. Il était là, contre elle, bien vivant. L’odeur montait. Mâle. Épaisse. Sa bouche n’était qu’à quelques centimètres. Elle n’osait pas bouger. Elle ne voulait pas qu’il croie… Elle ne voulait pas qu’elle-même y croie.
Et puis, le choc. Un jet. Chaud. En plein sur sa joue. Elle sursauta. Un deuxième. Puis un troisième. Elle lâcha, trop tard. Le sperme coulait déjà sur son visage. Elle resta figée. Elle avait juste voulu voir.
She had just wanted to see. Not touch. Not suck. Just look. Understand. And there she was, standing, holding the cock lightly, resting it against her cheek. It was warm. Hard. She wasn’t looking at it anymore. Her breathing slowed. She kept repeating in her head: It’s nothing. Just to see. But her skin was burning where it touched. Her grip was too tight.
She didn’t know if she still had control. It was there, alive, pressed to her face. The smell was rising. Male. Heavy. Her mouth was just centimeters away. She didn’t dare move. She didn’t want him to believe… She didn’t want to believe it herself.
Then it happened. A jolt. A jet. Hot, right on her cheek. She flinched. Then another spurt. Then a third. She let go — too late. Cum was already running down her face. She stayed still. She had just wanted to see.