Elle avait dit oui sans trop comprendre. Un regard, une phrase murmurée, un sourire peut-être. Et maintenant, elle était là. À genoux, au milieu d’eux. Cinq hommes. Cinq sexes dressés. Cinq odeurs qui l’enveloppaient déjà, fortes, salées, grasses. Elle n’en avait jamais vu autant. Elle n’avait même jamais vu un seul homme nu, pas vraiment. Et là, ils la regardaient, la pressaient, s’approchaient. Elle ne savait plus où poser les yeux. Mais elle était la fille du Président. Elle devait savoir faire ça. Alors elle avait levé les mains, lentement, et elle en avait pris deux.
Elle avait commencé par les branler doucement, tous les deux. Puis elle avait mis l’un en bouche, lentement, juste le bout. Sa langue s’y était collée. Elle avait fermé les yeux. Il était chaud, vivant, lourd. Elle avait oublié ses mains. Les deux sexes à l’extérieur s’étaient arrêtés. Elle s’était reprise, un peu paniquée, et avait recommencé à les branler. Puis elle avait changé, mis l’autre en bouche. Puis encore un autre. Ils bougeaient autour d’elle, ils frottaient leurs glands contre ses joues, contre son nez, sa tempe. Elle s’était laissé faire. Elle avait embrassé l’un d’eux sur le gland, sans réfléchir. Puis elle avait léché les testicules d’un autre, un peu au hasard. Elle ne savait pas où donner de la langue. Parfois, elle ouvrait la bouche trop grand. D’autres fois, pas assez. Mais elle continuait. Elle avait même essayé d’en mettre deux à la fois entre ses lèvres, et y était presque arrivée, juste une seconde, en forçant un peu la mâchoire. Elle haletait, la bouche pleine, les bras fatigués. Mais elle ne voulait pas s’arrêter. Pas encore.
Et puis ça avait commencé. L’un avait joui sur sa joue. L’autre sur son front. Elle avait senti le sperme couler dans ses cils, dans ses sourcils. Un troisième avait vidé sa charge sur sa langue, qu’elle avait laissée sortie, tremblante. Le quatrième l’avait éclaboussée en secouant son sexe contre son cou. Et le dernier, derrière elle, avait pressé son gland contre sa tête et s’était vidé dans ses cheveux. Elle avait senti les gouttes épaisses glisser sur son crâne, descendre lentement entre ses mèches. Son haut était mouillé, spongieux, collant. Chaque mouvement produisait un bruit humide — sploc, flap, squelch. Elle avait encore du sperme dans l’oreille, un peu sur le bras, même sur les genoux. Elle ne savait plus lequel l’avait touchée où. Mais elle était restée droite. Debout. Étourdie par l’odeur, les cuisses moites, la gorge nouée par un haut-le-cœur qu’elle avait maîtrisé de justesse. Elle avait passé un doigt sur sa joue, récupérant une traînée blanche, et l’avait mis dans sa bouche, presque machinalement. Et puis elle avait eu ce sourire. Ce sourire-là. Il existe un record du monde pour ça ? s’était-elle demandé. Parce qu’au fond, elle le savait : elle n’aurait plus jamais de rapport normal avec un homme. Pas de missionnaire. Pas de baiser. Juste des files d’hommes. Des files de queues. Des torrents de foutre. Et elle continuerait. Encore. Encore. Jusqu’à ce qu’on l’inscrive dans le livre des records.
She had said yes without really knowing why. A look, a whispered sentence, maybe a smile. And now here she was. On her knees, surrounded. Five men. Five hard cocks. Five intense smells, salty, musky, thick. She had never seen that many. Not even one, not really. And now they were looking at her, closing in, hard and ready. She didn’t know where to look. But she was the President’s daughter. She had to know how to do this. So she slowly raised her hands and took two.
She started stroking them softly. Then she took one in her mouth, just the tip. Her tongue stuck to the heat of it. She closed her eyes. It was warm, alive, heavy. She forgot her hands. The other cocks stopped. She corrected herself, panicked, started stroking again. Then switched. Took another one. Then a third. They rubbed themselves against her cheeks, her nose, her temples. She let them. She kissed one on the tip without thinking. Then licked another’s balls. She didn’t know where to focus. Sometimes she opened her mouth too wide. Other times not enough. But she kept going. She even tried to fit two at once between her lips — almost made it, for just a second, straining her jaw. She was panting, mouth full, arms tired. But she didn’t stop. Not yet.
Then it started. One came on her cheek. Another on her forehead. She felt cum drip into her eyelashes, her brows. A third filled her tongue — she kept it out, trembling. A fourth splashed against her neck. The last one, behind her, pressed his cock to the top of her head and came into her hair. She felt the thick drops slide through her strands. Her top was soaked, spongy, sticky. Every movement made a wet noise — sploc, flap, squelch. She still had cum in her ear, on her arms, even on her knees. She didn’t know who did what anymore. But she stayed upright. Standing. Dizzy from the smell, thighs slick, stomach tight from a gag she barely managed to suppress. She wiped her cheek with her finger, brought it to her mouth, and sucked without thinking. And then came the smile. That smile. Is there a world record for this? she thought. Because deep down, she knew: she’d never have normal sex again. No missionary. No kissing. Just lines of men. Lines of cocks. Rivers of cum. And she’d keep going. More. Again. Until someone wrote her name in the record book.