Elle s’est accroupie sans un mot, posée, méthodique. Sa main a saisi le sexe avec précision, presque froideur. Puis elle l’a pris en bouche, profondément, sans hésitation. Son regard restait fixe, presque amusé. Elle voulait qu’il comprenne : c’était elle qui avait décidé de sucer. Pas une faveur. Un privilège accordé à sa proie.
Elle suçait lentement, avec une régularité presque clinique. Mais elle souriait maintenant. Un sourire à peine perceptible, planté là, entre deux coulées chaudes. Chaque va-et-vient devenait un jeu, une moquerie muette. Elle prenait plaisir à le vider, et à savourer la réaction qu’elle provoquait.
Quand il a giclé, elle l’a gardé en elle, sans broncher. Puis elle s’est redressée, lentement, une coulée blanchâtre sur sa main noire. Elle a léché du bout de la langue ce qui restait sur ses doigts. Elle adorait ce goût-là. Et elle savait qu’il y en aurait d’autres.
She crouched down silently, calm and precise. Her hand gripped the cock with a surgeon’s care, almost cold. Then she took it into her mouth, deep, without hesitation. Her gaze stayed locked, almost amused. She wanted him to understand: she was the one who had chosen to suck. Not a favor. A privilege offered to her prey.
She sucked slowly, with a rhythm almost clinical. But now, she smiled — barely perceptible, between each warm glide. Every motion became a game, a silent mockery. She took pleasure in draining him, savoring every reaction he failed to hide.
When he came, she kept it inside, unmoving. Then she stood up slowly, a pale trail on her black glove. She licked what remained from her fingers with the tip of her tongue. She loved that taste. And she knew it wouldn't be the last time.